Saturday, November 18, 2006

Idée pour le projet tutoré

Proposer, en partenariat avec une bibliothèque de Paris, de faire des rencontres conseils pour inciter les usagés de la bibliothèque à lire des ouvrages différents. Faire cela sous forme de questionnaires contenant des questions plus ou moins ciblés sur les gouts de la personne et proposer ensuite de renvoyer par email des conseils.
Système finalement semblable a Last fm mais avec des livres. Associer un type de réponse avec des auteurs et ensuite faire correspondre les profils avec les auteurs.

Association d'idée

La série de mot qui suis est le résultat de quelques minutes d'associations d'idées dans une optique freudienne de découverte d'un contenu refoulé. Personne ne vous empêche de lire ce qui va suivre mais cela ne vous eclairera pas particulièrement a mon sens.

Bleak : Sombre Noir Nuage Pluie Soleil Fenêtre Rideau Jour Lit Moi Rêve Sommeil Confort Lumière Peur Fermé
Je ressent un besoin de me focaliser sur moi même, allongé en train de dormir dans mon lit, avec la lumière allumé. Toute préoccupation extérieur sur des éléments autour de mon lit ne m'interesse pas. Je les repousse et les juge inintéressant.
Peut être que la solution se trouve dans la commode.
Commode : Livre Comics Histoire Lecture Rituel Imaginaire Reve Départ Ecole Peur Crainte Stress (retour au sommeil) Sérénité Douceur Plénitude
L'extérieur serait dangereux et facteur de stress. Besoin de rester dans l'interieur, replis sur soi dans le sommeil et recherche d'un univers calme et reposant. La recherche du calme passait par un rituel centré sur des bandes dessinés, sur l'imaginaire donc ?

Des questions et des thêmes a developper

La musique peut elle être discriminer par des notions impartiales ?
Quelle est la place de la musique et de l'art dans le developement de l'individu ?
Quels sont les nombres premiers et qu'elle est leur intérêt dans la science moderne ?
Les relations sociales sont elles essentielles pour la vie de l'individu ?

Sunday, November 12, 2006

Essai (2)

Elmine les classiques et regarde après. Metallique, metal, menaçant, malicieux. C'est un autre registre. Le noir devient une couleur au et la palette s'ouvre pour révéler de nouveaux mondes. Alors l'univers n'est pas assez grand pour toi ? Regarde dans ta tête et retoure là pour voir ce qui germe à l'intérieur. La métaphore ne prends pas vie, elle se nourrit des cadavres d'idées récupérer ça et là. Ou est la vrai créativité ? Ou est le vrai. Je me regarde dans une glace fait de mots et je ne trouve pas encore ce qui fait de moi un être unique. Pas unique mais personne, une personne, quelque chose et quelqu'un. L'ego prend le relais et voilà que je ne sais plus si je suis aussi humble que je pense l'être. Je pense mais je ne suis pas forcement. Je ne ressent pas la douleur en ces moments d'immersions. Les marées de vibrations m'empêchent de voir les coupures de mes bras et je ressemble de plus en plus a l'adolescent que je ne veux pas être. Je suis grand mais je ne suis pas encore arrivé au stade ou je voudrais. Je ne veux pas être un eternel enfant. Je sais ce que je veux, mais je ne sais pas encore qui est je. Si je joue un jeu avec mon être et que je pense mes plaies pour les purifier, ou se trouve ma véritable personalité sinon au centre de ce qui fait ma culture et ma vie. Ma vie est réel et je vois enfin peu de lumière dans les mots quand ils se recomposent.

Ou est le besoin de faire des phrases qui se suivent. Le sens s'injecte automatiquement par la force de la culture de chacun. Pourquoi pointer du doigt quand on peut simplement evoquer. Le mal être se voit il dans les lignes ou le sens est invisible. Est ce que je ne cherche pas encore a perdre ma propre personne dans un flot de pensée qui s'étalle et coule sur l'écran. Mes doigts filent sur le clavier et je pense aussi vite qu'eux pour leur laisser le temps de prendre note de chacunes de mes pensés. Regarder mon cerveau se dérouler et prendre conscience des masques que portent chacun de mes neurones. L'information est masqué et je prend le courant a l'envers pour ne rien perdre. Retrouver ce que je suis et partir de là après pour que le sens soit là et que ma vie ne soit pas un enchainement de photos prisent sur le vif et assembler par un enfant de quatres ans lors d'un jeu en classe. Le sens, l'information, la futilité du grand ego qui s'étalle comme la confiture sur les tartines de culture que l'on donne a bouffer en pensant que cela contenter la curiosité. Pas de conspirations mais un besoin de se sentir mieux que l'autres. Alors on sous informe, on reste le maïtre. Mais qui est le maître ? Ou est l'information ? A la source, dans chacun. Tu connais une pièce du puzzle et tu ne la mets pas en jeu. Tu fais perdre le temps de l'humanité si tu ne l'aides pas a voir ce qui se cache derrière les pierres.

Essai (1)

La porte s'ouvre et les echos se repercutent contre le mur. Ou est le levier de vitesse ? Je ne sais pas vers quel direction aller, toutes celle qui me plaisent semble encombrer de débrits. Peut être devrais je commencer a regarder derrière moi et récuperer un vieux jouet. Ou es tu petite être que j'ai laissé filer un matin. J'aimerais te récuperer et te serrer contre mon coeur pour que tu ne pleurs plus jamais. Mais les cris se repercutent contre le mur et le couloir continue toujours d'aller plus loin vers un des formes toujours plus sombre. L'incertitude du lendemain, sera t'il fait de pluies ou de rayons de soleil. Me bruleront ils ou apaiseront ils les cris qui me brulent les oreilles jusqu'a ce que j'en saigne. Le sang coule dans les pores de la terre et des branches sortent. Je m'accrochent a certaines d'entre elles mais elles ne me mènent pas toutes vers un peu plus de nourriture pour ma tête. Ma tête n'a pas si mal que ça mais j'aimerais ne plus entendre ce que l'on me dit et me replier sur les voix qui sont douces à mon coeur.

Friday, November 10, 2006

Pardon

Plus que quatres poilus en France. Une part de l'histoire disparaitra avec vous. Mais a travers le monde, d'autres subsistent. Alors surtout, n'oublions pas nos poilus.