L'amour est a la fois le pire et le plus beau sentiment qui existe. une vie d'être humain se résume a naitre, planter sa graine et repartir vers le lointain néant. Rien de plus simple et a la fois rien de plus compliqué. Ces trois processus prennent un temps considérable a chaque fois et ont un impact décisif dans votre vie alors qu'ils sont gérés par un cycle qui les enchaine a une vitesse fulgurante sans jamais regarder derrière lui. La lutte contre le temps est la préoccupation principale de tous. Pas assez ou trop de temps. Les heures s'étirent et perdent leur sens, ou n'en gagnent absolument pas.
Et nous vivons tous ainsi. Inlassablement de jour en jour, notre existence se résume a des cauchemards de logistique contre l'existence, notre vie et le temps qui ne suit pas nos désirs et nos envies. Alors l'amour dans tout cela, c'est une porte de sortie contre tout. Le temps prend un sens et n'est plus perdu dans l'immensité de l'univers. Avec un peu d'amour transmis entre deux êtres, il y a un passage qui se crée et une bulle de sociabilité qui s'écroule pour ne former plus qu'une seule. C'est le summum de l'expérience vivante que de toucher et de lire dans les yeux de quelqu'un un sens profond que vous seul et cette autre personne sont les seuls a comprendre.
La quête de sens ne prend pas fin pour autant. Ce serait trop facile. Mais vous avez alors une base sur laquelle vous pouvez regarder un peu plus loin tout en vous tassant un peu pour aider votre compagne ou votre compagnon de route.
Tout est alors histoire de compromis mais cela aussi c'est le jeu. Si le sens n'avait pas de prix alors il ne vaudrait pas le coup de le rechercher. Il serait une denrée perissable qui n'a aucune importance sur le marché. Et l'amour, elle, n'a pas de prix.
Et c'est bien pour cela que c'est le pire sentiment qui existe. Car notre vie que nous vivions alors replié sur nous même en ne cherchant que notre plaisir est alors dirigé vers une double dynamique qui demande de compromettre une part de son sens trouvé pour offrir de soi même a un(e) autre. Quant on est amoureux, on donne litterallement de soi, dans tout les sens du terme, et cela aussi fait partie du jeu. Le grand jeu des frustrations avec lequels nous combattons chaque jours pour être et sourire.
Une prof de fac de psycho m'avait un jour dit qu'une des plus grandes frustrations était de se lever le matin et de sortir de son état de sommeil bienheureux. Mais l'autre grande cause de frustration est celle causée par le sentiment amoureux qui demande a votre petite personne d'agir en fonction de l'autre que vous cherissez mais qui n'accède jamais totalement a votre demande. On se rapproche de l'un pour perdre un peu de soi et former un nouvel être. Ne pas changer quant on est amoureux et que l'on vit cet experience a son maximum et une preuve d'égoisme. Mais l'ego doit survivre et, encore une fois, le tout est de ne pas s'oublier sans jamais oublier l'autre. La corde ne finit jamais de tirer dans un sens ou dans un autre et peut claquer d'un moment a un autre si l'on n'y prend garde.
L'amour est en fait ce qui constitue le la colonne vertable de notre vie et, une fois brisée, plus rien n'a de sens. Le pire et le meilleur donc, car le plus dangereux, mais aussi le plus délicieux.
Thursday, August 23, 2007
Tuesday, August 21, 2007
Qui ? part 3
Après une demi heure de marche jusqu'en dehors de la ville nous étions arrivé a un terrain vague entouré d'immeubles délabrés, abandonné par l'expansion de la ville dans le centre ville. Incroyable qu'a si peu de distance du quotidien bruyant de la ville se trouvait un hallo de silence abandonné de tous. Un peu de verdure avait repris son droit entre le ciment défoncé au sol. Quelques mauvaises herbes donnait l'impression qu'un peu de vie résidait encore dans cet endroit abandonné par la civilisation.
Mon guide me laissait le temps de regarder et de découvrir l'endroit, silencieux et respectueux, il ou elle me regardait avec interêt comme on laisse un animal de compagnie découvrir les placards et les recoins de la nouvelle maison. Puis, m'appelant de loin mais me parlant avec le même ton doux et clair que précedemment, la présence me demanda d'avancer un peu. Elle voulait me montrer quelque chose et je sentis tout de suite qu'elle était impatiente de me faire découvrir ce qui attendait.
Nous avançames jusqu'a l'entrée d'un des immeubles laissé ouvert après le départ du dernier locataire officiel. L'entrée était sombre et ne laissait filtrer que peu de lumière. Mes yeux plissés, je ne pouvais distinguer que peu de choses en dehors de la porte et des murs défraichis jusqu'a ce qu'une allumette apparaissent dans l'air et éclairent deux nouvelles présences placé derrière une corde suspendus dans les airs.
Il ne me fallut que quelques instants pour comprendre dans quel situation je me trouvais bien que tout ceci n'avait absolument rien a voir avec ce que j'avais put vivre et ce que j'imaginais vivre un jour. La corde était surement attaché a un homme, un humain, homme ou femme, qu'importe, qui n'était donc pas une des présences. Pas de bruit de respiration signifiait qu'il ou elle était déjà morte et que les coupables du crime étaient surement les deux nouvelles présences qui se trouvait dérrière le corps.
Je me retournais alors pour chercher la personne qui m'avait amené jusqu'ici et l'interrogeait mais une réponse me parvint avant que je ne puisse ouvrir la bouche.
"Tu n'as pas a savoir pourquoi nous l'avons tué" fut la réponse simple, froide et sans réplique que j'obtins.
A ce moment j'aurais aimé continuer a poser des questions, comme par exemple, "pourquoi moi ?" ou "pourquoi m'avoir demandé de venir jusqu'ici ?" mais je ne pouvais me résoudre a interrompre le silence qui régnait dans la pièce. Je savais maintenant que je n'obtiendrais surement aucune réponse qui pourrait satisfaire suffisament ma curiosité et ma peur d'être la prochaine victime. Les actions de ces personnes que j'avais jusqu'alors ignoré obéïssaient a une logique froide mais simple. Rien ne peut les empecher de faire comme bon leur semble car personne ne les voit. Moi seul serait le témoin de leurs actions sans que je puisse trouver quelqu'un a qui expliquer ce qui se passe sans qu'il ne me prenne pour un fou.
Alors a quoi bon ? Pourquoi chercher a comprendre alors que tout ceci me dépassait ?
En fait, plus rien n'avait de sens et tout en gagnait de nouveau. Comme si ma vie venait de recommencer et de s'ouvrir des milliers de perspectives neuves qui m'étaient encore impossible d'atteindre. Je ne pouvais communiquer avec personne jusqu'a présent mais cet époque était désormais révolu. Voilà le seul bénéfice que j'allais pouvoir tirer de cette situation, mais c'était la seule chose que j'avais toujours voulu.
Et maintenant ? demandais je a n'importe qui en particulié
Viens, me répondit la voix.
Je la suivais.
Mon guide me laissait le temps de regarder et de découvrir l'endroit, silencieux et respectueux, il ou elle me regardait avec interêt comme on laisse un animal de compagnie découvrir les placards et les recoins de la nouvelle maison. Puis, m'appelant de loin mais me parlant avec le même ton doux et clair que précedemment, la présence me demanda d'avancer un peu. Elle voulait me montrer quelque chose et je sentis tout de suite qu'elle était impatiente de me faire découvrir ce qui attendait.
Nous avançames jusqu'a l'entrée d'un des immeubles laissé ouvert après le départ du dernier locataire officiel. L'entrée était sombre et ne laissait filtrer que peu de lumière. Mes yeux plissés, je ne pouvais distinguer que peu de choses en dehors de la porte et des murs défraichis jusqu'a ce qu'une allumette apparaissent dans l'air et éclairent deux nouvelles présences placé derrière une corde suspendus dans les airs.
Il ne me fallut que quelques instants pour comprendre dans quel situation je me trouvais bien que tout ceci n'avait absolument rien a voir avec ce que j'avais put vivre et ce que j'imaginais vivre un jour. La corde était surement attaché a un homme, un humain, homme ou femme, qu'importe, qui n'était donc pas une des présences. Pas de bruit de respiration signifiait qu'il ou elle était déjà morte et que les coupables du crime étaient surement les deux nouvelles présences qui se trouvait dérrière le corps.
Je me retournais alors pour chercher la personne qui m'avait amené jusqu'ici et l'interrogeait mais une réponse me parvint avant que je ne puisse ouvrir la bouche.
"Tu n'as pas a savoir pourquoi nous l'avons tué" fut la réponse simple, froide et sans réplique que j'obtins.
A ce moment j'aurais aimé continuer a poser des questions, comme par exemple, "pourquoi moi ?" ou "pourquoi m'avoir demandé de venir jusqu'ici ?" mais je ne pouvais me résoudre a interrompre le silence qui régnait dans la pièce. Je savais maintenant que je n'obtiendrais surement aucune réponse qui pourrait satisfaire suffisament ma curiosité et ma peur d'être la prochaine victime. Les actions de ces personnes que j'avais jusqu'alors ignoré obéïssaient a une logique froide mais simple. Rien ne peut les empecher de faire comme bon leur semble car personne ne les voit. Moi seul serait le témoin de leurs actions sans que je puisse trouver quelqu'un a qui expliquer ce qui se passe sans qu'il ne me prenne pour un fou.
Alors a quoi bon ? Pourquoi chercher a comprendre alors que tout ceci me dépassait ?
En fait, plus rien n'avait de sens et tout en gagnait de nouveau. Comme si ma vie venait de recommencer et de s'ouvrir des milliers de perspectives neuves qui m'étaient encore impossible d'atteindre. Je ne pouvais communiquer avec personne jusqu'a présent mais cet époque était désormais révolu. Voilà le seul bénéfice que j'allais pouvoir tirer de cette situation, mais c'était la seule chose que j'avais toujours voulu.
Et maintenant ? demandais je a n'importe qui en particulié
Viens, me répondit la voix.
Je la suivais.
Monday, August 20, 2007
Qui ? part 2
Et le calme est venu avec le temps quand les gens ont finis par s'habituer a ma condition et a ma présence. Je reconnaissais un peu mieux chacun des bruits qui caracthérisent une personne sans quels s'en rende compte. Les grognement essouflés de ma mère après les courses. Le pas lent et ferme de mon frère. La mauvaise habitude de macher du chewing gum bruyamment de notre voisin. Et encore des tas et des tas d'autres petits détails que je gardais pour moi.
C'était mon trésor, ma connaissance. Ce que je manquais de la vie extérieur, je le retrouvais dans ces éléments perdus aux yeux de tous mais pas a mes oreilles. Le son a sauvé ma vie de nombreuses fois et si un jour je devenais sourd je pense que je n'hesiterais pas une seconde a me tirer une balle ou a sauter par la première fenêtre qui croiserait mon chemin. Sans mes tympans, la vie n'aurait plus de sens. Alors que je lutte pour lui en donner au moins un peu chaque jour, la disparition de ce peu signifierait le début du grand trou noir de mes perceptions.
Et puis il y avait aussi ses personnages que j'étais le seul a voir. Mais elle ne parlait pas et n'avait communiqué qu'une seule fois avec moi. C'est bien gentil de faire partie du paysage, mais quand on me parle autant qu'a un mur de brique, je finis par me lasser. Et puis j'ai bien été forcé de les ignorer. Elles étaient partout pendant plusieurs années. Je ne pouvais pas bouger dans la maison, même quand elle était vide de toutes personnes et de tout bruit, sans qu'un de ces types, ou de ces bonnes femmes, ne faisons pas de discrimination, ne se retrouve sur mon chemin. Donc progressivement ce sont devenu des éléments du décors, des statues vides et mécaniques qui n'avait aucun interet pour moi. Et de toute manière, elle ne produisait aucun son, même en marchant, comme si ils ou elles vollaient sur l'air.
Ce n'est qu'aujourd'hui que l'une d'elle a bien voulu me parler. Alors que je pretais l'oreille a la porte pour vérifier que mon frère ne se trouvait pas dans le salon, condition sine qua none pour que je puisse aller m'allonger sur le canapé pour écouter mon disque des Beatles favoris sans qu'un de ses commentaires déplaisant ne dérange mon écoute. Etant plus sensible au son qu'aux stimulus visuel, un bruit déplaisant est pour moi une torture qui vient briser mon fragile équilibre quotidien.
Mais alors que je venais de m'asseoir sur le canapé, le visage d'une des présences vint se placer devant moi et j'entendis distinctement sa voix me dire :
Viens avec moi.
C'était la première fois que l'on me parlait aussi doucement pour s'adresser a moi.
Auparavant tout le monde m'avait hurlé dessus, puis avait commencé a me parler calmement mais avec pitié. Cette voix était par contre douce et sans préjugé aucun. Alors qu'elle provenait d'un des êtres les plus anormales que je connaisse, ma personne étant placé en haut de la liste, sans fausse modestie, tout dans ce ton de voix m'incitait a écouter et a obêïr. C'était l'occasion ou jamais d'interagir avec quelqu'un que je pouvais voir. Peut être même que cette présence allait se réveler être une femme et que je pourrais enfin découvrir le reste du corps de celles que j'ai toujours senti différente, mais aussi si proche, de moi.
Je suivais la présence dans la maison jusqu'a la porte d'entrée. Arrivé devant la porte elle me regarda et me demanda de l'ouvrir. Je lui demandais pourquoi devais je m'acquiter de cette tâche ? N'en était elle pas capable ? Elle me répondit que non car "si jamais la porte s'ouvrait sans que quelqu'un ne soit derrière pour l'ouvrir cela pourrait paraître suspect". j'acquiecais interieurement devant cette logique a tout épreuve qui dénotait d'un sens de la prevoyance et d'une intelligence au dessus de la moyenne. Ces êtres semblait donc être évolué mais pourtant il n'avait jamais essayé de me parler avant. Pourquoi ne pas avoir adressé la parole a la seule personne, je présume, qui pouvait les voir.
Alors que je n'en étais encore qu'a réfléchir sur tout cela, la présence se retourna vers moi et me répondit chaleureusement "nous n'avions tout simplement rien a te dire".
Encore une fois, la logique était implacable et ne souffrait d'aucune réplique. A croire que leur vie était mue par des régles strictes, comme une sorte de secte.
Une fois dehors notre parcours s'etendit sur plusieurs rues. Je longeais les murs en murmurant constamment des excuses a tout hasard si jamais je bousculais quelqu'un. Je n'avais pas pris ma cane et mes lunettes noirs necessaire a ma vie en société, afin de me faire passer pour un aveugle normal. Je rasais donc de près les panneaux et les affiches pour ne pas perdre de vue mon guide qui ne souffrait pas du même problême que moi et bousculait même des personnes sans quel s'arrête pour regarder qui pouvait être responsable de ce choc leger. Peut être mettait elle cela sous le coup du vent ? Comme quoi, l'anonymat est garanti pour les fantômes tant qu'ils restent a proximité de gens qui ne serait pas superstitieuses.
C'était mon trésor, ma connaissance. Ce que je manquais de la vie extérieur, je le retrouvais dans ces éléments perdus aux yeux de tous mais pas a mes oreilles. Le son a sauvé ma vie de nombreuses fois et si un jour je devenais sourd je pense que je n'hesiterais pas une seconde a me tirer une balle ou a sauter par la première fenêtre qui croiserait mon chemin. Sans mes tympans, la vie n'aurait plus de sens. Alors que je lutte pour lui en donner au moins un peu chaque jour, la disparition de ce peu signifierait le début du grand trou noir de mes perceptions.
Et puis il y avait aussi ses personnages que j'étais le seul a voir. Mais elle ne parlait pas et n'avait communiqué qu'une seule fois avec moi. C'est bien gentil de faire partie du paysage, mais quand on me parle autant qu'a un mur de brique, je finis par me lasser. Et puis j'ai bien été forcé de les ignorer. Elles étaient partout pendant plusieurs années. Je ne pouvais pas bouger dans la maison, même quand elle était vide de toutes personnes et de tout bruit, sans qu'un de ces types, ou de ces bonnes femmes, ne faisons pas de discrimination, ne se retrouve sur mon chemin. Donc progressivement ce sont devenu des éléments du décors, des statues vides et mécaniques qui n'avait aucun interet pour moi. Et de toute manière, elle ne produisait aucun son, même en marchant, comme si ils ou elles vollaient sur l'air.
Ce n'est qu'aujourd'hui que l'une d'elle a bien voulu me parler. Alors que je pretais l'oreille a la porte pour vérifier que mon frère ne se trouvait pas dans le salon, condition sine qua none pour que je puisse aller m'allonger sur le canapé pour écouter mon disque des Beatles favoris sans qu'un de ses commentaires déplaisant ne dérange mon écoute. Etant plus sensible au son qu'aux stimulus visuel, un bruit déplaisant est pour moi une torture qui vient briser mon fragile équilibre quotidien.
Mais alors que je venais de m'asseoir sur le canapé, le visage d'une des présences vint se placer devant moi et j'entendis distinctement sa voix me dire :
Viens avec moi.
C'était la première fois que l'on me parlait aussi doucement pour s'adresser a moi.
Auparavant tout le monde m'avait hurlé dessus, puis avait commencé a me parler calmement mais avec pitié. Cette voix était par contre douce et sans préjugé aucun. Alors qu'elle provenait d'un des êtres les plus anormales que je connaisse, ma personne étant placé en haut de la liste, sans fausse modestie, tout dans ce ton de voix m'incitait a écouter et a obêïr. C'était l'occasion ou jamais d'interagir avec quelqu'un que je pouvais voir. Peut être même que cette présence allait se réveler être une femme et que je pourrais enfin découvrir le reste du corps de celles que j'ai toujours senti différente, mais aussi si proche, de moi.
Je suivais la présence dans la maison jusqu'a la porte d'entrée. Arrivé devant la porte elle me regarda et me demanda de l'ouvrir. Je lui demandais pourquoi devais je m'acquiter de cette tâche ? N'en était elle pas capable ? Elle me répondit que non car "si jamais la porte s'ouvrait sans que quelqu'un ne soit derrière pour l'ouvrir cela pourrait paraître suspect". j'acquiecais interieurement devant cette logique a tout épreuve qui dénotait d'un sens de la prevoyance et d'une intelligence au dessus de la moyenne. Ces êtres semblait donc être évolué mais pourtant il n'avait jamais essayé de me parler avant. Pourquoi ne pas avoir adressé la parole a la seule personne, je présume, qui pouvait les voir.
Alors que je n'en étais encore qu'a réfléchir sur tout cela, la présence se retourna vers moi et me répondit chaleureusement "nous n'avions tout simplement rien a te dire".
Encore une fois, la logique était implacable et ne souffrait d'aucune réplique. A croire que leur vie était mue par des régles strictes, comme une sorte de secte.
Une fois dehors notre parcours s'etendit sur plusieurs rues. Je longeais les murs en murmurant constamment des excuses a tout hasard si jamais je bousculais quelqu'un. Je n'avais pas pris ma cane et mes lunettes noirs necessaire a ma vie en société, afin de me faire passer pour un aveugle normal. Je rasais donc de près les panneaux et les affiches pour ne pas perdre de vue mon guide qui ne souffrait pas du même problême que moi et bousculait même des personnes sans quel s'arrête pour regarder qui pouvait être responsable de ce choc leger. Peut être mettait elle cela sous le coup du vent ? Comme quoi, l'anonymat est garanti pour les fantômes tant qu'ils restent a proximité de gens qui ne serait pas superstitieuses.
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