Elmine les classiques et regarde après. Metallique, metal, menaçant, malicieux. C'est un autre registre. Le noir devient une couleur au et la palette s'ouvre pour révéler de nouveaux mondes. Alors l'univers n'est pas assez grand pour toi ? Regarde dans ta tête et retoure là pour voir ce qui germe à l'intérieur. La métaphore ne prends pas vie, elle se nourrit des cadavres d'idées récupérer ça et là. Ou est la vrai créativité ? Ou est le vrai. Je me regarde dans une glace fait de mots et je ne trouve pas encore ce qui fait de moi un être unique. Pas unique mais personne, une personne, quelque chose et quelqu'un. L'ego prend le relais et voilà que je ne sais plus si je suis aussi humble que je pense l'être. Je pense mais je ne suis pas forcement. Je ne ressent pas la douleur en ces moments d'immersions. Les marées de vibrations m'empêchent de voir les coupures de mes bras et je ressemble de plus en plus a l'adolescent que je ne veux pas être. Je suis grand mais je ne suis pas encore arrivé au stade ou je voudrais. Je ne veux pas être un eternel enfant. Je sais ce que je veux, mais je ne sais pas encore qui est je. Si je joue un jeu avec mon être et que je pense mes plaies pour les purifier, ou se trouve ma véritable personalité sinon au centre de ce qui fait ma culture et ma vie. Ma vie est réel et je vois enfin peu de lumière dans les mots quand ils se recomposent.
Ou est le besoin de faire des phrases qui se suivent. Le sens s'injecte automatiquement par la force de la culture de chacun. Pourquoi pointer du doigt quand on peut simplement evoquer. Le mal être se voit il dans les lignes ou le sens est invisible. Est ce que je ne cherche pas encore a perdre ma propre personne dans un flot de pensée qui s'étalle et coule sur l'écran. Mes doigts filent sur le clavier et je pense aussi vite qu'eux pour leur laisser le temps de prendre note de chacunes de mes pensés. Regarder mon cerveau se dérouler et prendre conscience des masques que portent chacun de mes neurones. L'information est masqué et je prend le courant a l'envers pour ne rien perdre. Retrouver ce que je suis et partir de là après pour que le sens soit là et que ma vie ne soit pas un enchainement de photos prisent sur le vif et assembler par un enfant de quatres ans lors d'un jeu en classe. Le sens, l'information, la futilité du grand ego qui s'étalle comme la confiture sur les tartines de culture que l'on donne a bouffer en pensant que cela contenter la curiosité. Pas de conspirations mais un besoin de se sentir mieux que l'autres. Alors on sous informe, on reste le maïtre. Mais qui est le maître ? Ou est l'information ? A la source, dans chacun. Tu connais une pièce du puzzle et tu ne la mets pas en jeu. Tu fais perdre le temps de l'humanité si tu ne l'aides pas a voir ce qui se cache derrière les pierres.
Sunday, November 12, 2006
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